La France a déjà aménagé des centres hospitaliers pour mener des actions de dépistage, des recherches médicales, et surtout pour accueillir les patients atteints du virus Ebola dans son territoire. En guinée, la France mène des interventions militaires pour l’épauler dans la lutte contre l’épidémie qui a déjà occasionné des milliers de décès. Elle a aussi octroyé des dons financiers estimés à 9 millions d’euros. De plus, le président français annonce la création d’un hôpital militaire dans le sud de ce pays.
Un exercice sur un cas d’Ebola effectué à Lyon 1
À Lyon, à l’occasion du JNR (journée nationale du réserviste), l’Université Claude Bernard a organisé un module d’enseignement sur les risques NRBC (nucléaires, radiologiques, biologiques et chimiques). Et, dans les travaux pratiques, un exercice de simulation de rapatriement sanitaire d’une personne porteur de virus Ebola a été au programme. 25 étudiants issus de la fac de médecine locale et de l’école de santé des armées ont participé. Ils se sont équipés de combinaison adaptée à la situation et ils ont utilisé une housse dépressurisée pour le transport d’un mannequin qui est supposé être le patient atteint du virus Ebola. La simulation est réalisée sous l’encadrement des militaires. Le but de ces manœuvres est de pouvoir faire face à un éventuel rapatriement sanitaire en évitant les risques de contamination durant le transport, l’administration des soins et l’enlèvement des combinaisons.
L’hôpital la Croix-Rousse : un établissement équipé pour les cas d’Ebola
Un hôpital lyonnais, la Croix-Rousse a été aménagée pour pouvoir accueillir des personnes atteintes du virus Ebola. Il est équipé de plusieurs sas de décontamination, des portes étanches, des chambres et laboratoires P4 (ou à pression négative). Les protocoles sont stricts pour y accéder, le port d’un équipement complet d’isolation à l’exemple d’une combinaison, un masque, des gants et des bottes sont obligatoires.
Un exercice sur un cas d’Ebola effectué à Lyon 1
À Lyon, à l’occasion du JNR (journée nationale du réserviste), l’Université Claude Bernard a organisé un module d’enseignement sur les risques NRBC (nucléaires, radiologiques, biologiques et chimiques). Et, dans les travaux pratiques, un exercice de simulation de rapatriement sanitaire d’une personne porteur de virus Ebola a été au programme. 25 étudiants issus de la fac de médecine locale et de l’école de santé des armées ont participé. Ils se sont équipés de combinaison adaptée à la situation et ils ont utilisé une housse dépressurisée pour le transport d’un mannequin qui est supposé être le patient atteint du virus Ebola. La simulation est réalisée sous l’encadrement des militaires. Le but de ces manœuvres est de pouvoir faire face à un éventuel rapatriement sanitaire en évitant les risques de contamination durant le transport, l’administration des soins et l’enlèvement des combinaisons.
L’hôpital la Croix-Rousse : un établissement équipé pour les cas d’Ebola
Un hôpital lyonnais, la Croix-Rousse a été aménagée pour pouvoir accueillir des personnes atteintes du virus Ebola. Il est équipé de plusieurs sas de décontamination, des portes étanches, des chambres et laboratoires P4 (ou à pression négative). Les protocoles sont stricts pour y accéder, le port d’un équipement complet d’isolation à l’exemple d’une combinaison, un masque, des gants et des bottes sont obligatoires.